Quel jeu !
J'en suis environ à 20 heures de jeu, et c'est pour l'instant, en dehors du Tactics indétrônable, le meilleur Final Fantasy auquel j'ai pu jouer.
Graphiquement, on voit que la PS2 en arrache. Il y a beaucoup de limite ; l'aliasing est partout, les personnages des villes ou les ennemis n'apparaissent que lorsqu'on s'approche. Pas de jeu de lumière et ombre époustouflant, des zones de décors segmentées par des chargements.
Et pourquoi toutes ces limites ? Parce que le résultat est là ; les graphismes sont très beaux, les personnages très bien modélisés et les textures fines. C'est un vrai plaisir de se balader car en plus d'être beau, c'est esthétique.
Rajoutons à cela des décors variés mais toujours cohérents.
Pour ceux qui trouvent que les personnages manquent de charisme, ils y vont un peu fort. C'est pas parce qu'un samouraï porte des raybans ou qu'un surfeur est fluo-futuriste qu'on a un jeu avec des persos charismatiques. La grande force de FF12 avec ses persos, c'est que tout en étant très différents au niveau du caractère, ils sont en même temps complémentaires. Le fait qu'ils fassent équipe est pertinent, ça fait pas tache comme une gothique à côté d'un lion bleu, ou encore un vampire et Barracuda de l'agence tous risques.
Les personnages de ff12 donc sont plus fins, plus subtils que dans les anciens épisodes. Certains diront plus adultes, moi je dirai moins manga. Ah... quel soulagement indicible d'échapper aux héros fluos et "trop staïlés" (comme disent les d'jeunz') de l'affreux Nomura, l'apôtre du mauvais goût videoludique.
Voir les détails du produit sur Amazon

J'en suis environ à 20 heures de jeu, et c'est pour l'instant, en dehors du Tactics indétrônable, le meilleur Final Fantasy auquel j'ai pu jouer.
Graphiquement, on voit que la PS2 en arrache. Il y a beaucoup de limite ; l'aliasing est partout, les personnages des villes ou les ennemis n'apparaissent que lorsqu'on s'approche. Pas de jeu de lumière et ombre époustouflant, des zones de décors segmentées par des chargements.
Et pourquoi toutes ces limites ? Parce que le résultat est là ; les graphismes sont très beaux, les personnages très bien modélisés et les textures fines. C'est un vrai plaisir de se balader car en plus d'être beau, c'est esthétique.
Rajoutons à cela des décors variés mais toujours cohérents.
Pour ceux qui trouvent que les personnages manquent de charisme, ils y vont un peu fort. C'est pas parce qu'un samouraï porte des raybans ou qu'un surfeur est fluo-futuriste qu'on a un jeu avec des persos charismatiques. La grande force de FF12 avec ses persos, c'est que tout en étant très différents au niveau du caractère, ils sont en même temps complémentaires. Le fait qu'ils fassent équipe est pertinent, ça fait pas tache comme une gothique à côté d'un lion bleu, ou encore un vampire et Barracuda de l'agence tous risques.
Les personnages de ff12 donc sont plus fins, plus subtils que dans les anciens épisodes. Certains diront plus adultes, moi je dirai moins manga. Ah... quel soulagement indicible d'échapper aux héros fluos et "trop staïlés" (comme disent les d'jeunz') de l'affreux Nomura, l'apôtre du mauvais goût videoludique.
Voir les détails du produit sur Amazon
Tidak ada komentar:
Posting Komentar